- Le Dr Kelly Turner a identifié 9 facteurs, dont 8 sont d'ordre psychologique, à l'origine des rémissions spontanées de cancers (provoquées par des changements profonds).
- Des études d'après le Dr Julien Drouin : "La libération des émotions réprimées - comme la colère - dans le cancer du sein, double la survie des patientes".
- De nombreux chercheurs ont évoqué le lien entre stress et cancer : Dr David Servan-Schreiber, la psychologue Yvane Wiart ("Stress et cancer : quand notre attachement nous joue des tours". De Boeck 2014), Dr Wilhelm Reich (psychiatre autrichien), Dr Rick Geerd Hamer, Dr Michel Moirot, ...
- L'institut suisse des sciences noétiques (ISSNOE) a référencé plus de 3500 cas de rémissions spontanées de cancers de stade 4 (le plus élevé avant le stade terminal).
- Une étude a montré que les traumatismes psychologiques survenus dans l'enfance provoquent les mêmes effets génotoxiques que la plupart des substances chimiques cancérigènes (Bergholz 2017, revue DNA Repair).
- Le Dr Lipton (biologiste, voir le film de J.Y Billien) explique que les émotions modifient l'activité des gènes.
- L'ocytocine inhibe la progression du cancer de l'ovaire in vitro et in vivo (Morita 2004) ..."Lors des rapports sexuels, l'ocytocine libérée a un effet protecteur par rapport au cancer du sein". Dr Frédéric Saldmann.
- Des chercheurs concluent que chez les femmes isolées socialement, le profil d'expression génique pourrait contribuer à la croissance tumorale et à la survenue de métastases (Bower 2014). (répression émotionnelle liée à l'isolement social).
- Le stress précoce (enfant) peut altérer la réponse immunitaire pour des stress futurs, réduisant les défenses antitumorales (études de rats/Seligman 1985).
- "Les évènements stressants subis durant l'enfance laissent des traces puisqu'ils augmenteraient les risques de développer un cancer précoce ou de mourir avant l'âge de 50 ans. L'INSERM a analysé le parcours de vie de 17000 britanniques nés la même semaine en 1958. (femmes ont 50% de risques en plus de développer précocement un cancer, si au cours de l'enfance, elles ont connu au moins 2 "adversités" = stress chroniques, et 80% de risques en plus de mourir avant 50 ans, 57% pour les hommes ayant le même passif"/Michelle Kelly Irving. (Le Monde du 12/09/2016 :"Le stress chronique de l'enfance favorise le cancer").
- Des chercheurs américains ont montré, chez des femmes d'origine asiatique souffrant d'un cancer du sein, que la sévérité des symptômes du stress post-traumatique était liée à la répression émotionnelle."
- "La perte de contrôle sur le stresseur environnemental réduit la capacité d'élimination de la tumeur et diminue la survie chez le rat" (Visintainer 1982).
Atelier "Corps et Thérapies" avec "Univers Emotions"